« Route 60 »
4 projections en présence du réalisateur Alaa Ashkarà La Réole, Langon, Ste Foy la Grande, Créon
*L' A.C.P.G. (Association des Cinémas de Proximité de la Gironde) présente dans le cadre de la 77ème opération **CLIN D'OEIL-CINEMA** :
*ROUTE 60* - Un itinéraire au-delà des frontières.
Documentaire d'Alaa ASHKAR - France-Palestine-France - 2013 - 1H14
La Ligue des droits de l'homme, Amnesty France, le CCFD Terre Solidaire, l'association France Palestine Solidarité, le consulat général de France à Jérusalem soutiennent le film.
Le réalisateur Alaa Ashkar est palestinien. Ce film est un documentaire sur son expérience personnelle en Cisjordanie en tant que palestinien citoyen d'Israël. Il s'agit d'un voyage poétique qu'il entreprend à la rencontre de la vie quotidienne des palestiniens ordinaires, au cours duquel il rencontre des rêves et des passions, de l'espoir et du désespoir.
4 projections-débats en présence du réalisateur :
*LA REOLE - SAMEDI 22 FEVRIER à 18H au CINEMA LE REX
*LANGON - DIMANCHE 23 FEVRIER à 17H30 au CINEMA LE RIO
*SAINTE-FOY-LA-GRANDE - MARDI 1er AVRIL à 20H30 au CINEMA LA BRECHE
*CREON - SAMEDI 5 AVRIL à 18H au CINEMA MAX LINDER
Citoyen israélien, Palestinien de Galilée, Alaa Ashkar, 34 ans, après avoir étudié à Sciences-Po et beaucoup voyagé dans le monde, se pose des questions sur son identité. Son éducation à l'école israélo-arabe, la politique de peur instillée par l'État d'Israël au sein de sa population, les pressions de la société israélienne, ont façonné sa vision des territoires occupés, lui ont appris à se défier des Palestiniens de Cisjordanie. Il décide d'aller voir par lui-même, nous conduit sur la Route 60 qui traverse du nord au sud la Cisjordanie, terre de paysans, de commerçants et de pasteurs, et nous fait partager ses rencontres.
« Ce documentaire créatif représente le côté intime de mon expérience en Cisjordanie, où j'ai vécu pendant deux ans. C'est en tant que Palestinien que j'y suis allé. Bien plus qu'un mur, ce sont des barrières psychologiques qui ont été dressées et de la peur qui m'a été transmise, en tant que citoyen d'Israël. J'ai voulu filmer loin des clichés et des idées reçues, une réalité humaine complexe ».
Alaa Ashkar réussit à donner au film tout entier une tonalité empreinte d'une poésie parfois très émouvante, et à transmettre au spectateur le sentiment non seulement de devenir le témoin de sa recherche d'identité, mais d'assister à une sorte de renaissance à travers la compréhension intime de ce que signifie l'occupation du pays par Israël.
http://www.ldh-france.org/La-LDH-soutient-le-film-Route-60.html
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